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&
écologie
Le plastique, non merci!
Il nous faut bien plus qu’une seule journée “antiplastique” pour en prendre conscience!
Connaissez-vous le huitième continent?
C’est comme ça que l’on désigne la plaque de millions de résidus accumulés dans l’océan Pacifique. C’est en 1997 que l’océanographe Charles J. Moore a découvert ce grand territoire artificiel de détritus.
Trop d'études scientifiques nous demandent de participer pour ralentir cette catastrophe. Aujourd’hui, ce continent d’ordures a une taille de trois fois la France et on estime que 8 millions de tonnes de déchets plastiques sont jetées dans les océans chaque année.
Le pire, c’est que ces plastiques se dégradent en petites particules qui sont absorbées par les poissons et les divers organismes vivants qui contaminent la chaine alimentaire entière.
Sans parler des métaux lourds qu’ils contiennent et d’autres polluants persistants.
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Cette soupe de plastique parsemée de gros morceaux éparpillés et extrêmement difficiles à récupérer.
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— Patrick Deixonne l’exprime parfaitement: «C'est un drame écologique qu'il faut stopper tout de suite, car dans moins de 30 ans, tous les animaux auront ingérer du plastique et une fois que l'on aura tué l'océan, on ne pourra plus faire machine arrière.»
— Et Maria Fernanda Espinosa de préciser «on retrouve des microplastiques dans le sel de table, dans l'eau douce et on pense que chaque personne sur la planète a du plastique dans le corps».
C’est une véritable asphyxie de la biodiversité!
De nombreuses démarches sont proposées, mais il va falloir agir vite pour instaurer un changement conséquent, car c’est un fléau pour le climat, les écosystèmes et notre santé.
Dans le cadre de la Journée mondiale de l’environnement (5 juin): #lePlastiqueNonMerci
Je me souviens avoir entendu la ministre de l’Écologie parler des efforts que nous devons tous faire, mais leur attitude si lâche vis-à-vis des lobbies est déprimante.
Je m’attendais à des résolutions un peu plus drastiques comme par exemple créer une taxe sur le conditionnement. Au lieu de réprimer les clients avec des bonus-malus pourquoi ne pas inventer un rapport poids/emballage sur les produits de consommation courante?
Si l’industriel veut suremballer ses articles, c’est son choix et il a ses raisons, mais alors, qu’ils soient plus chers de par cette taxe. Au lieu d’avoir une TVA punitive et injuste (c’est un autre débat, je sais…) sur toutes les marchandises... Pourquoi ne pas encourager ceux qui empaquètent moins ou très peu?
Pas exemple, quand on achète des madeleines en vrac plutôt qu’un paquet de biscuits tous emballés par 2 ou 3 unités, cela devrait être moins cher au kilo. On doit s’habituer à regarder le prix au kilo des aliments.
Chaque fois que je constate que c’est moins couteux de prendre 3 sachets de 2 tranches de jambon qu’un seul lot de 6, je tombe sur mon point·bqc 143·!
C’est dingue, non? Acheter du plastique revient moins onéreux que du cochon! Et des exemples comme celui-ci, il y’en a plein les rayons des supermarchés.
Redonner une seconde vie aux objets, ça s’appelle pratiquer l’économie circulaire!
Depuis 2002, nous récupérons des boites, etc. qui sont destinées à être jetées.
… après ce coup de gueule…
Je voulais vous expliquer la raison pour laquelle nous recyclons des emballages usés pour envoyer nos paquets. Vous êtes nombreux à nous avoir félicités quand vous recevez votre colis d’outils multireflex enveloppés dans de vieux journaux et une boite de céréales ou de pièces informatiques.
Cela nous permet d’être réellement écoresponsables et de maintenir des prix justes.
Et c’est pour être encore plus cohérents avec cette démarche environnementale que nous fabriquons les outils multireflex avec des matières nobles et naturelles [consulter la page à propos de la fabrication].
Non, ce n’est pas une mode!
Non seulement les instruments écologiques sont plus beaux, mais les fréquences vibratoires des matériaux vivants comme la corne et le bois sont inégalables par le plastoc. Sans parler des propriétés biologiques de la corne.
L’écologie dans tout ça?
Et bien, le fait de ne pas utiliser du plastique pour nos outils et de ne pas consommer à outrance des emballages synthétiques et neufs implique que nous n’encourageons pas la production.
De surcroit, la corne et le bois sont biodégradables et aucun animal n’est élevé pour ses cornes que nous récupérons de la filiale agricole traditionnelle avant qu’elles partent pour faire de l’engrais.
La cohérence est de mise
Nous ne pouvons prétendre exercer une méthode de soins naturelle qui aide tout un chacun à moins polluer (puisque consommer des médicaments, ça contamine l’eau) tout en utilisant des instruments qui poussent l’industrie à fabriquer plus de synthétique dangereux.
Sublimez votre gestuelle thérapeutique en employant des matières vivantes.
Participez à l'interminable catalogue de témoignages éloquents à propos de ces superbes bijoux de santé et de bienêtre.
Osons aller plus loin!
En ce qui concerne le papier. Je sais que plusieurs d’entre nous ont toujours des réflexes typiques du XXe siècle.
On a nos habitudes pour apprendre: papier, stylo que l’on mâchouille (encore du plastique!) et pages que l’on feuillète.
Mais étudier, ce n’est pas lire un roman sur une plage qui se tranquillise à l’heure où le clapotis des vagues rencontre les derniers rayons de soleil.
Bien étudier, c’est prendre des notes, c’est comprendre et non pas retenir (sauf si on fait du droit). Et franchement, amis du XXe, faisons un petit effort en nous munissant de notre Petit-marteau yin-yang pour nous percuter le point·bqc 103· et découvrir le monde merveilleux de l’informatique.
Cela nous offre de telles possibilités d’apprentissage qu’il me faudrait plus de 3 écrans superposés pour les dérouler ici.
Étudier avec votre iPad et un excellent moyen d’économiser beaucoup de papier, de transporter peu de poids et surtout d’obtenir une approche bien plus performante pour exprimer tout votre talent de créateur de soin.
Ce fut une des motivations pour développer l’appli Faceasit. Les bouquins on les avait déjà écrits (ABC du Dien Chan aux Edt. Grancher pour la version française), il nous fallait donc un support pédagogique qui permettent aux passionnés du Dien Chan de toujours avoir sous les doigts une source d’inspiration inépuisable qui rentre dans un cartable.
Publiée en 2013 dans l’AppStore (la boutique Apple des apps), je l’ai présenté à l’Association canadienne des Réflexologues (ACR/RAC) en 2015.
De nombreuses professionnelles nord-américaines se l’installèrent dans leur iPad et je vous assure que l’âge moyen de nos amis réflexologues du Canada est le même que chez nous en Europe.
Ce fut un tel succès qu’en 2019 à Halifax en Nouvelle-Écosse, cette même grande association nous a récompensés par le prix à l’innovation en réflexologie durant leur congrès annuel.
L’application Faceasit’clinic est maintenant devenue l’outil indispensable pour exprimer tout son talent de thérapeute en Dien Chan.
... et aujourd’hui?
Nous continuons notre action de respect de l’environnement en évitant les matières plastiques et travaillons sur de nouveaux prototypes pour améliorer notre production; jamais au détriment de la qualité, car nous tenons à rester artisanaux et durables.
Nous sommes en discussions avec certaines boutiques pour récupérer leurs boites destinées à la poubelle et ne publions que des fascicules au format PDF pour que vous puissiez les consulter sur l’écran de votre choix.
Nous avions au départ l’intention d’imprimer un livre sur le Chan’beauté, mais le cout écologique et économique pénalisait nos lecteurs.
C’est en nous penchant vers une solution digitale que le magazine interactif du Chan’beauté est né.
Finalement, ce projet s’est révélé gagnant, car il nous permet bien plus de possibilités.
Et comme le succès est au rendez-vous, nous poursuivons dans cette direction en travaillant à de belles mises à jour gratuites pour toutes celles qui le possèdent déjà.
Restons donc en contact, évitons le plastique et dienchannement vôtre,
_patryck aguilar